Titre : | Corde raide : nouvelles | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Geneviève Roch, Auteur | Editeur : | Montpellier [France] : Chèvre Feuille Étoilée éd. | Année de publication : | impr. 2005 | Importance : | 1 vol. (110 p.) | Présentation : | couv. ill. en coul. | Format : | 14 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-914467-18-6 | Prix : | 5 EUR | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | littérature française, nouvelles | Résumé : | Les proses de Geneviève Roch abordent des genres différents - récit, conte, fiction, témoignage... - avec un égal bonheur. Dans chacune affleure le regard d'une femme lucide, étayé par une trame riche de sens et un style enlevé. «Pourquoi est-il si difficile d'admettre (...) que c'est la violence qui règle nos rapports ?». Voici le maître mot, le fil conducteur qui relie les textes ici réunis. Violence des mots, violence du non-dit, violence au quotidien... Un crescendo dans la violence qui explose dans la guerre, ou plutôt de ce qu'il en reste à travers la visite d'un cimetière militaire.
La violence est aveugle et pourtant... elle ne saurait effacer «la douceur de l'air» conclut en filigrane l'auteure de ce beau recueil. |
Corde raide [texte imprimé] : nouvelles / Geneviève Roch, Auteur . - Montpellier (65 Cour des Capucins, 34 500, France) : Chèvre Feuille Étoilée éd., impr. 2005 . - 1 vol. (110 p.) : couv. ill. en coul. ; 14 cm. ISBN : 978-2-914467-18-6 : 5 EUR Langues : Français ( fre) Mots-clés : | littérature française, nouvelles | Résumé : | Les proses de Geneviève Roch abordent des genres différents - récit, conte, fiction, témoignage... - avec un égal bonheur. Dans chacune affleure le regard d'une femme lucide, étayé par une trame riche de sens et un style enlevé. «Pourquoi est-il si difficile d'admettre (...) que c'est la violence qui règle nos rapports ?». Voici le maître mot, le fil conducteur qui relie les textes ici réunis. Violence des mots, violence du non-dit, violence au quotidien... Un crescendo dans la violence qui explose dans la guerre, ou plutôt de ce qu'il en reste à travers la visite d'un cimetière militaire.
La violence est aveugle et pourtant... elle ne saurait effacer «la douceur de l'air» conclut en filigrane l'auteure de ce beau recueil. |
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