Titre : | Nouvelles de l'exil | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Christian Liger (1935-2002), Auteur | Editeur : | Nîmes : Atelier Baie | Année de publication : | DL 2010 | Importance : | 1 vol. (100 p.) | Présentation : | ill. en coul., couv. ill. | Format : | 21 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-953254-67-9 | Prix : | 19 EUR | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | littérature française, nouvelles | Résumé : | Huit nouvelles pour dire le mystère de l’autre, tous ces autres frôlés, déjà enfuis, tous ces frères et sœurs aux destins d’or et de poussière, simples passants reconnus en secret parmi mille autres. De l’être cher insaisissable à la jeune inconnue happée par la tragédie, des tourments de l’adolescent demain adulte aux nostalgies de l’ouvreuse de théâtre, de cette fille «venue d’on ne sait où, repartie on ne sait où», à la vieille dame croisée jour après jour, de la cantatrice dont le souffle porte le cri d’une ville toute entière, à l’ultime déambulation de l’ami dans la cité, ils sont la vie, toute la vie et ce qui s’en suit, et toute l’écriture aussi. Eux, les inconnus, les héros anonymes, les piétons mystérieux.
«Parle de nous et de la ville, a suggéré l’ami, explique que l’homme et le pays, c’est la chair et le noyau»... |
Nouvelles de l'exil [texte imprimé] / Christian Liger (1935-2002), Auteur . - Nîmes : Atelier Baie, DL 2010 . - 1 vol. (100 p.) : ill. en coul., couv. ill. ; 21 cm. ISBN : 978-2-953254-67-9 : 19 EUR Langues : Français ( fre) Mots-clés : | littérature française, nouvelles | Résumé : | Huit nouvelles pour dire le mystère de l’autre, tous ces autres frôlés, déjà enfuis, tous ces frères et sœurs aux destins d’or et de poussière, simples passants reconnus en secret parmi mille autres. De l’être cher insaisissable à la jeune inconnue happée par la tragédie, des tourments de l’adolescent demain adulte aux nostalgies de l’ouvreuse de théâtre, de cette fille «venue d’on ne sait où, repartie on ne sait où», à la vieille dame croisée jour après jour, de la cantatrice dont le souffle porte le cri d’une ville toute entière, à l’ultime déambulation de l’ami dans la cité, ils sont la vie, toute la vie et ce qui s’en suit, et toute l’écriture aussi. Eux, les inconnus, les héros anonymes, les piétons mystérieux.
«Parle de nous et de la ville, a suggéré l’ami, explique que l’homme et le pays, c’est la chair et le noyau»... |
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